Bernard Poullain
Du Burkina jusqu’au Col de l’Échelle, entre l’Italie et la France, des baobabs jusqu’aux sapins blancs, ce récit romancé est celui d’un parcours de migrant qui découvre la neige et le froid ; épuisé, dans un dernier effort de lucidité, il associe ses souffrances et les souvenirs de son pays. À la suite, l’auteur adapte ses diverses formes d’écriture (prose, poésie, Haïkus…) pour dénoncer de multiples atteintes à la dignité de l’homme (emprisonnement, guerres, attentats…). Il développe ses réflexions sur le mal et sa puissance destructrice imposée à l’homme.
Ses textes sont vrais, poignants, percutants et nous rappellent au devoir d’humanité. Ils sont empreints de spiritualité dans des réflexions sur le dilemme entre la croyance et l’inéluctabilité du mal.
IL A NEIGÉ SUR LES BAOBABS est un CRI
Contre toute atteinte à la liberté, pour le respect de chaque vie.
Un Cri qui bouleverse nos indifférences.